Dans le cadre du cours Design urbain : concepts et méthodes, de l’Université Laval, nous avions le mandat de réaliser l’analyse d’une ville nordique et Tromsø, en Norvège, a attirée notre attention. Il s’agit d’une ville universitaire, une des plus peuplées au nord du cercle polaire.
Cette municipalité, dont la population a augmenté considérablement ces dernières années, s’est retrouvée devant un dilemme majeur lié à son expansion. Devait-elle s’étaler ou se densifier? La densification était une option qui fut d’abord critiquée, les citoyens craignant que la ville empiète sur la Marka, le grand espace vert au centre de l’île. Ce parc a un aspect identitaire important et la population souhaitait le garder intact. La ville a alors fait le choix de se tourner vers la participation citoyenne afin d’orienter ses décisions face à ce dilemme. Cet enjeu est mis de l’avant dans l’analyse, car la municipalité se démarque par les efforts mis en place et la variété des processus participatifs employés qui peuvent permettre de cerner les réussites et difficultés de ce type de projets. L’utilisation de la participation citoyenne à Tromsø a permis d’aménager la ville à l’image de ses habitants et de changer certaines mentalités liées au développement, comme une meilleure acceptabilité de la densité.
Par la suite, trois quartiers représentatifs de trois modes de croissance différents, soit Kroken, Bo I Nord et Strandkanten, sont comparés afin de bien saisir les options explorées par la ville. L’intention est de mettre en lumière l’évolution de la qualité du traitement des espaces publics en relation avec la densité perçue dans les quartiers résidentiels.
Pour terminer, le quartier de Strankanten, développé depuis 2003, avait comme objectif d’offrir un habitat dense aux espaces publics de qualité. Le quartier est étudié plus en détail sur ces espaces publics et privés, son plan lumière, sa perméabilité et lisibilité, sur la marchabilité et la proximité des services, puis sur son adaptation au climat nordique. Les analyses visent à expliquer et critiquer les différentes caractéristiques du quartier, pour juger de son potentiel urbain.
Cette municipalité, dont la population a augmenté considérablement ces dernières années, s’est retrouvée devant un dilemme majeur lié à son expansion. Devait-elle s’étaler ou se densifier? La densification était une option qui fut d’abord critiquée, les citoyens craignant que la ville empiète sur la Marka, le grand espace vert au centre de l’île. Ce parc a un aspect identitaire important et la population souhaitait le garder intact. La ville a alors fait le choix de se tourner vers la participation citoyenne afin d’orienter ses décisions face à ce dilemme. Cet enjeu est mis de l’avant dans l’analyse, car la municipalité se démarque par les efforts mis en place et la variété des processus participatifs employés qui peuvent permettre de cerner les réussites et difficultés de ce type de projets. L’utilisation de la participation citoyenne à Tromsø a permis d’aménager la ville à l’image de ses habitants et de changer certaines mentalités liées au développement, comme une meilleure acceptabilité de la densité.
Par la suite, trois quartiers représentatifs de trois modes de croissance différents, soit Kroken, Bo I Nord et Strandkanten, sont comparés afin de bien saisir les options explorées par la ville. L’intention est de mettre en lumière l’évolution de la qualité du traitement des espaces publics en relation avec la densité perçue dans les quartiers résidentiels.
Pour terminer, le quartier de Strankanten, développé depuis 2003, avait comme objectif d’offrir un habitat dense aux espaces publics de qualité. Le quartier est étudié plus en détail sur ces espaces publics et privés, son plan lumière, sa perméabilité et lisibilité, sur la marchabilité et la proximité des services, puis sur son adaptation au climat nordique. Les analyses visent à expliquer et critiquer les différentes caractéristiques du quartier, pour juger de son potentiel urbain.
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Maxime Bonesso
Raphaëlle Hamelin
Eugénie Lessard
Adèle Vigneux
Bacheliers en architecture de l'Université Laval à Québec
Candidats à la maitrise en architecture
Automne 2015
Maxime Bonesso
Raphaëlle Hamelin
Eugénie Lessard
Adèle Vigneux
Bacheliers en architecture de l'Université Laval à Québec
Candidats à la maitrise en architecture
Automne 2015